Violations des droits de l'homme en Europe : présentation à Strasbourg (France) de l'affaire Inara Vilkaste
VIENNE, Autriche et STRASBOURG, France, April 26, 2012 /PRNewswire/ --
Le Comité « Justice for Inara » (« Justice pour Inara »), basé à Vienne, représenté par son président Walter Schwimmer, ancien secrétaire général du Conseil de l'Europe, a dénoncé à Strasbourg, les 18 et 19 avril 2012, les constantes violations des droits de l'homme dont la citoyenne et femme d'affaires lettone Inara Vilkaste fait l'objet.
Depuis 2006, Inara Vilkaste et la famille de cette dernière sont la cible d'un complot criminel, ainsi que de toute une série d'agressions. Des actes tels que l'extorsion, l'incendie criminel, l'explosion d'une voiture, une tentative d'enlèvement de sa fille, une tentative d'assassinat et la disparition de l'avocat de la famille n'ont constitué que le point de départ des évènements qui ont suivi. En effet, les enquêtes véreuses ont débuté ensuite, au même titre que l'introduction de centaines d'actions civiles et pénales, et la diffamation publique à l'encontre de Mme Vilkaste et de sa famille.
Le Comité craint que l'État letton et les autorités de ce dernier aient pu perdre tout contrôle sur certaines structures, et notamment sur des services spéciaux, ce qui rend possible la perpétration d'actes d'abus de pouvoir, dont les auteurs peuvent œuvrer dans le secret pour satisfaire des intérêts personnels, en menant des actions opaques à l'encontre de Inara Vilkaste. C'est dans ces conditions que Mme Vilkaste sollicite de l'aide en Europe, par le biais du Comité susvisé.
Dans un premier temps, un tel soutien devrait être apporté par la Cour européenne des droits de l'homme : des avocats lettons, en collaboration avec un renommé cabinet d'avocats de la ville de Strasbourg, ont introduit une plainte devant ladite juridiction, en y soulevant la violation de l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme (droit au respect de la vie privée et familiale ) et de l'article 1 du 1er Protocole additionnel à la Convention (protection de la propriété).
À Strasbourg, les interlocuteurs interpelés (au sein du Parlement européen, du Conseil de l'Europe et du Forum pour l'Europe démocratique, ainsi que des représentants de la presse internationale) ont manifesté un fort intérêt pour cette affaire. L'ensemble d'entre eux ont exprimé le souhait que Mme Vilkaste puisse enfin échapper au cauchemar qu'elle vit.
« Les droits de l'homme doivent l'emporter partout dans le monde. »
M. Schwimmer, ancien secrétaire général du Conseil de l'Europe et défenseur de la démocratie et des droits de l'homme, espère obtenir les respect des droits de l'homme en s'adressant pour cela à la Cour européenne des droits de l'homme. Il espère également sensibiliser le public européen à la question, ainsi que parvenir à convaincre le gouvernement letton de protéger les droits fondamentaux de ses citoyens et de reprendre pleinement le contrôle de ses services spéciaux. Interrogée sur ses objectifs, Mme Vilkaste a déclaré : « Je souhaite reprendre le cours de ma vie ! »
Pour plus d'informations : http://www.justiceforinara.eu
Rückfragenhinweis : Comité Justice for Inara (Justice pour Inara), [email protected], +43-17185068-13, Sabine Pöhacker, +43-1315-14110.
SOURCE Committee Justice for Inara
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